Un vieux document poussiéreux aux pages écornées. C'est le passage obligatoire de tout forum, un peu de courage ce ne sera pas long. Vous y trouverez toutes les informations nécessaires pour assimiler le concept de Quelque Part : le règlement, le contexte, la chronologie et les diverses annexes. QP est un forum un peu particulier et c'est aussi la raison pour laquelle nous tenons à ce que vous y prêtiez une attention particulière, sans ça vous pourriez bien vous retrouver rapidement perdus.

Un peu tout ce qui n'a rien à faire ailleurs, ce qui se balance au détour d'un RP, ce que nous appelons communément flood. Catégorie indispensable lorsque l'on se souvient de tirades CBiennes mémorables qui n'auraient jamais été si fantastiques si personne n'avait eu la bonne idée de les c/c dans le flood. À utiliser sans modération, amusez-vous <3

Ici c'est votre coin à vous, c'est l'endroit où vous pourrez poster votre fiche et attendre qu'elle soit validée. Une fois ceci fait vous pourrez la retrouver dans la catégorie "validées". C'est également l'endroit où vous pourrez parcourir la galerie de prédéfinis si vous n'êtes pas inspirés pour créer de bout en bout un personnage. Une troisième catégorie est présente dans ce sous forum, la gestion. Elle est obligatoire pour chaque personnage afin de nous permettre un suivi plus rapide et plus organisé.

Le poste de radio réunit plusieurs catégories, vous pourrez y trouver les sujets dédiés aux partenariats ainsi qu'une catégorie où les membres aussi bien que les invités peuvent poser les diverses questions qui traversent leur esprit. Invités et membres pourront aussi poster ici leurs suggestions, qu'elles soient loufoques ou sérieuses. Aucune question n'est bête ou ridicule et vous trouverez toujours une oreille attentive qui tentera de vous répondre au mieux.

Une étendue de sable qui semble se prolonger à l'infini, à peine encadrée par des falaises rocheuses. Un des deux points de départ de tout nouvel arrivant dans Quelque Part... Située à l’extrémité Est de l'Île, la Crique est est un endroit totalement à découvert, ouvert sur la grande étendue bleutée de l'eau. Eau par delà lequel on ne peut rien apercevoir, s'étendant sans fin pour aller mourir à l'horizon. Le sable fin et clair brûle au soleil et refroidit très vite la nuit.

De plusieurs mètres de haut le Phare de l'île dresse sa silhouette quasi fantomatique sur le sable fin de la Crique. Anciennement rayé rouge et blanc la vieille pierre émoussée s'est ternie au fil des ans et à son point culminant les vitres sont cassées, laissant à nu l'ancienne lampe qui servait à guider les bateaux, aujourd'hui éteinte. D'étranges algues se sont greffées sur l'édifice, elle luisent d'une faible lueur verdâtre et grimpent le long des murs comme du mauvais lierre. À l'intérieur du bâtiment délabré il y a une longue volée d'escaliers en colimaçon. Le bois des marches toujours humide glisse et certaines marches sont manquantes. Le parquet craque de manière sinistre, une seule destination est disponible une fois ces escaliers empruntés : le sommet vers la pièce de l'ancienne lampe, toujours éteinte.

Situé tout au Sud de l'Île, il partage la même Jungle avec le Rivage Est. C'est le second point de départ des arrivants. L'eau est pure et translucide dans ce bassin naturel d'eau plus chaude. Ce lieu possède également une plage naturelle sur laquelle les naufragés viennent s'échouer. L'eau y est aussi salée qu'ailleurs mais les rochers semblent y être plus présents. Ils poussent tout autour de cette étrange endroit, ne laissant qu'un chemin de sortie : la plage qui s'enfonce peu à peu dans la jungle luxuriante. C'est un endroit bien exposé au soleil qui reste très lumineux.

Véritable écosystème, la Mangrove est un marais d'eau salée dans lequel les arbres torturés prennent racine et étendent leurs branches loin dans le ciel. La température quasi tropicale est chargée d'humidité, laissant les plus aventureux patauger dans une mélasse aussi épaisse qu'opaque. L'eau est peu profonde mais garde aux tourbières qui peuvent vous avaler une jambe dans leurs tourbillons, menaçant de vous avaler si vous vous débattez de trop. Au cœur de cette dernière vous pourrez même trouver des zones d'eau plus chaude, répandant leur buée dans l'air déjà chargé de particules d'eau. Il ne faut pas non plus s'étonner le mouvement lent des eaux, les marais salés que constituent la mangrove sont également sujets aux marées.

Haut dans les arbres, des passerelles de bois servent de sol à quelques constructions en piteux état. Les arbres ont été taillés, façonnés, travaillés par la main de l'homme pour permettre à un fragile hameau de se cacher dans les feuillages, loin du sol boueux. Chaque arbre comprend sa cabane, chacune unique, chacune aux planches de bois humides, rongées et fragiles, chacune ingénieusement pensée pour combattre le temps et les agressions. Liées les unes aux autres par des ponts de cordes, tandis que des systèmes de poulies assurent une communication sommaire entre ce qu'il reste, certaines se sont vues recouvertes de mousse. Aujourd'hui quelques cabanes gisent, éventrées, sur le sol, des ponts pendent misérablement vers rien, certaines cabanes sont même isolées, d'autres ont perdu leur toiture de bois et de feuilles ; quant aux dernières... qui sait encore combien de temps elles tiendront ?

Partie particulièrement dense de l'Île, la Forêt Vierge se rapproche de l'Amazonie en bien des points. Les troncs des arbres rapprochés les uns des autres montent haut dans le ciel et les premières branches sont à plusieurs mètres du sol pour la plupart d'entre eux. L'air y est chaud et humide et des branches de bois jonchent le parterre forestier.Un feuillage épais filtre la lumière en de rares rayons, un sol chaotique, tantôt bossu, tantôt boueux, et des lianes pendantes rendent malaisées les avancées. En y creusant les plus observateurs pourraient y trouver des racines comestibles comme le manioc. Certains arbustes donnent d'étranges baies colorées et des plantes à ras du sol cachent peut être des vertus médicinales, encore faut-il savoir les reconnaître et les différencier. Une faune cachée dans ce labyrinthe végétal anime les sons de cris et glapissement divers, naturels en milieu sauvage.

Vos pas vous ont mené à un mur de Brume. Qu'y a-t-il au delà ? Impossible de savoir... Légère dans les premiers pas, la Brume s'opacifie, grandit, puis s'épaissit, ressemble à de la purée en fumée. Une fois perdu en son sein, un gris vaporeux empêche à qui conque de voir plus loin que son bras tendu. Bienvenue dans les brumes, où même la lumière finit par disparaître. Le sol inégal, jonché de racines traîtresses, rend toute progression laborieuse. Puis il y a ces bruits, ces grognements, murmures, presque hurlement inhumain qui retentissent, s'évanouissent. Devant, derrière, ou sur les côtés ? Des ombres qui bougent. Des sensations de frôlement qui viennent, passent... Quand les sens déraillent, quand ils deviennent inutiles ou se trompent, impossible de se repérer, il ne reste plus qu'à avancer, sortir... mais pour où exactement ?

C'est à présent un immense volcan qui se dresse devant vous. Seule l'odeur de souffre, la chaleur bouillonnante et la luminosité rougeâtre qui éclaire la végétation alentour vous permet de deviner la nature volcanique de cette péninsule dont le sommet se perd dans la brume et les nuages. La chaleur est lourde et pesante, elle est sèche surtout, toute trace d'humidité de la Jungle disparaît ici. Les pans escarpés de roche noire sont rudes et écorchent facilement votre peau, elle est tiède et peu accueillante. Des fumerolles s'échappent de quelques crevasses, accentuant de plus en plus cette odeur de souffre reconnaissable entre mille. Plus vous progressez vers le sommet plus votre ouïe saisit cet étrange bouillonnement. Au sommet une gigantesque crevasse, un cratère aussi large qu'un gratte-ciel ouvre sa gueule béante vers le ciel et laisse les visiteurs admirer la lave en fusion qui serpente dans ses entrailles.

Au détour d'un chemin, sans forcément vous y attendre, vous pourriez tomber dans les souterrains. Taillés dans une solide roche noire, brute et oppressante, ils semblent s'étirer tout autour de l'Ile... Un grondement sourd résonne parfois dans l'obscurité de ces murs et le froid règne sur les lieux. Raisonnablement espacées sur la paroi, des torches attendent dans leurs appliques que quelqu'un vienne les enflammer. Incrustés dans le roc, des cristaux luminescents éclairent le chemin d'une pâle lumière bleutée.